En février dernier, la direction de l’Internationale décidait d’organiser un Séminaire Femme cette année.
La réponse aux invitations était importante. Trente femmes participeront : de Belgique, Brésil, Grande-Bretagne, Danemark, Equateur, France, Allemagne, Indonésie, Italie, Mexique, Philippines, État Espagnol, Sri Lanka et Suisse.
Nous avons reçu une aide financière de sections et de camarades, pour un peu plus de 2000 €. L’Internationale a également contribué aux frais de voyage.
A Radical Approach to Humanitarian Relief from IIRE on Vimeo.
On the 23rd February 2012, the IIRE oganised an international public meeting to discuss the politics of Humanitarian Rleif in the Third World. Speakers from France, Philippines, Pakistan and Sri Lanka exposed their experience and reflections in building humanitarian aid programs which promot social equality and human emancipation from the grassroots.
Les catastrophes naturelles deviennent de plus en plus des thèmes politiques centraux dans le tiers-monde. Ils se situent à l’intersection entre l’exploitation socio-économique et le changement climatique capitaliste.
La réponse à ces catastrophes est souvent prise en main par des ONG indépendantes et par des agences internationales aussi bien dans les pays frappés que dans les pays du premier monde où des dons sont collectés. Mais la façon dont l’aide est organisée et les acteurs qui la prennent en charge, ne sont pas neutres politiquement.
Vendredi 27 octobre, la revue Jaarboek Kritiek organisait en collaboration avec l’IIRE un débat avec l’activiste et théoricien radical allemand Detlef Hartman. Plus de trente personnes étaient venues.Hartman nous donnait une description vivante de la crise mondiale et des possibilités de résistance à cette crise. Dans le débat, on a parlé des causes économiques de cette crise. Ensuite l’aspect international des résistances a été évoqué : des résistances à la base par les femmes et les paysans dans plusieurs pays du tiers-monde montrent concrètement la possibilité de luttes. On a également posé la question de la vulnérabilité du capitalisme par l’utilisation des nouvelles techniques de communication et d’information.
